Quelques massages et leurs vertus…

Les massages, on est d’accord, c’est bon. C’est bon tout le temps, à n’importe quel moment de l’année. Justement, Caroline Masson-Lambrecht en propose plein des massages… Californien, ayurvédique, du dos, spéciale future maman, spécial sportif, réflexologie plantaire, Thaï, amincissant, raffermissant… Mais nous nous sommes intéressées plus particulièrement à 3 soins :
– Le massage sur-mesure
– Le massage Thaï
– Le soin « Jambes lourdes réfrigérant » tout à fait approprié en cette période caniculaire
– Le Kobido, un soin du visage énergétique qui nous vient du Japon

Caroline nous en parle et vous allez voir, ça donne envie de se faire du bien…

Caroline Lambrecht – Beaune Relax Form
60 rue du Faubourg Madeleine – Beaune
Tel. 06 07 33 11 23
www.beaune-relaxform.fr

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Lectures akashiques, reliance, code source… pour être libre d’être

Il est des personnes qui nous ouvrent des portes sur d’autres univers, plus subtils, passionnants, extraordinaires et riches d’enseignement sur nous-mêmes.
C’est le cas d’Isabelle Gaubert. Elle est de ces personnes qu’on ne met pas dans une case, parce qu’on en n’a pas envie et parce qu’elle est inclassable !
Ses techniques sont multiples et complémentaires : Heart Healing Meditation, reliance avec notre Cœur et la nature, lectures Akashiques, Code source…
Autant de méthodes qu’elle propose pour nous accompagner sur le chemin de la reconnexion avec soi-même,  de la guérison de l’âme et du cœur, de la libération de notre splendeur et de notre singularité. Son objectif : nous guider vers une totale LIBERTE d’ETRE !
Je vous laisse la découvrir à travers son interview…
A noter : la présence d’Isabelle Gaubert à la prochaine conférence du Pôle Libellule, le mardi 25 juin à 19H00 à la Comédie du Vin (Beaune). Elle nous parlera plus particulièrement des lectures Akashiques, cette bibliothèque cosmique qui contient la mémoire de nos âmes…

Plus d’infos sur www.isabellegaubert.com

 

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L’intuition : qu’est-ce que c’est ?

On nous dit souvent : « il faut écouter votre intuition ». Ok…. Mais c’est quoi exactement ? Comment la reconnait-on ? La définition du Larousse, dit ceci : « Connaissance directe, immédiate de la vérité, sans recours au raisonnement, à l’expérience ».

J’ai découvert il y a quelques jours l’intervention de Lydie Castells, auteure, conférencière et numérologue. Lydie et son mari Bernard Castells ont consacré un livre à L’Intuition intitulé « L’Intuition, et si on l’écoutait vraiment ? » (Cf. article de janvier)

Bien entendu le livre qui fourmille d’exemples et d’anecdotes est passionnant, détaillé, facile à lire et permet d’augmenter notre QEI (Quotient d’Ecoute de l’Intuition). Mais si vous n’avez pas encore lu le livre et même si vous l’avez déjà lu comme moi, je vous invite à regarder l’extrait de cette conférence. C’est avec la permission de Lydie que je partage avec vous son intervention qui nous en dit déjà beaucoup sur ce phénomène qui n’est ni un sentiment, ni une émotion mais plutôt une sensation….

 

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Féminin sacré : comment retrouver sa dimension divine ?

FemmeSacrée

Sur nos différents chemins de guérison, à travers certains soins, quelques-unes de mes amies et moi-même, nous sommes à plusieurs reprises entendues dire qu’il nous fallait nous « reconnecter avec notre féminin sacré »… Oui, oui, oui… mais encore ? Le féminin on sait ce que c’est approximativement mais le féminin sacré qu’est-ce que c’est exactement ? Au fil de mes discussions, je me suis aperçue que la question était particulièrement nébuleuse pour bon nombre d’entre nous. Alors, j’ai décidé d’éclairer ma lanterne, c’est chose faite et aujourd’hui, je vais tenter d’éclairer un peu la vôtre.

Le féminin sacré qu’est-ce que c’est ?

La plus belle définition que j’ai pu lire du féminin sacré et qui me « parle » est celle de Louisane Venne-Landry* : « C’est la coupe qui se remplit et qui se déverse sur les autres. Elle est pleine d’accueil et d’écoute. C’est une polarité d’action mais pas dans le mouvement. Elle fait « rayonner » dans la douceur. » Se reconnecter avec son féminin sacré, reviendrait donc tout simplement (même si ce n’est pas toujours simple, nous le verrons…) à accepter, vivre, expérimenter la douceur dont est capable la femme, l’accueil et l’écoute de l’autre, le fait de prendre soin, l’acceptation de l’imperfection et le don de soi… l’Amour en somme… L’Amour inconditionnel.
Mais cette dimension aussi belle soit-elle et que l’on retrouve notamment dans la maternité serait incomplète sans toutes les autres dimensions qui composent la femme sacrée. Ainsi, pour Sylvie Lüna Bérubé*, « La femme animale, la femme sensuelle, la femme sexuelle, la femme guérisseuse, la femme chamane, la femme prêtresse, la femme initiatrice, la femme déesse existent toutes, mais les femmes ne sauraient pas exprimer toutes ces dimensions dans notre société. » Pour cette thérapeute psychocorporelle, dans le féminin sacré, coexistent la dimension spirituelle du féminin et la sexualité, deux dimensions que les femmes ont généralement beaucoup de mal à vivre.
Il serait donc temps de redonner la dimension sacrée qui revient à la sexualité. Cela permettrait à beaucoup de femmes de la vivre en se connaissant mieux, en lâchant-prise, sans culpabilité, sans freins, pleinement, consciemment, dans le respect de soi, de ses désirs, de ses envies, de son corps, de l’autre, sans obéir à des codes jusqu’ici très… masculins…
Cette dimension sexuelle est d’autant plus primordiale quand on sait que l’énergie sexuelle est une énergie créatrice. « Les femmes ça crée » déclare Sylvie Lüna Bérubé. J’ai beaucoup aimé ce jeu de mots très évocateur. Si le corps de la femme est une matrice qui peut donner la vie, son âme l’est tout autant, capable d’engendrer de nombreuses créations… littéraires, artistiques, idéologiques… Mais là aussi, malheureusement, beaucoup ignorent cette merveilleuse aptitude naturelle car elles n’entendent pas l’appel du féminin sacré, c’est-à-dire l’appel de leur intuition, de leur âme. D’autres ressentent confusément l’appel mais ne savent pas de quelle manière créer, s’en sentent même parfois incapables.

Vivre son féminin sacré, pourquoi n’est-ce pas si simple ?

De tout ce que je viens de décrire sur le féminin sacré, nous remarquerons facilement que le plus sacré du féminin exprimé et accepté aujourd’hui par notre société et par les femmes elles-mêmes, est la maternité. Nous pouvons, sans crainte d’être jugées, parler de douceur, d’écoute, d’acceptation, de soin à l’autre, d’amour inconditionnel et de don de soi, lorsque nous évoquons nos rôles de mères. Cette dimension capable d’amour et d’accueil est bien plus valorisée que les autres aspects de la féminité.

Mais, en dehors de la maternité (et encore…) pourquoi le fait de se reconnecter avec ce féminin sacré est si difficile ?
Pour deux raisons. Tout d’abord, quand il est question d’accueillir, d’écouter, d’accepter l’imperfection et de donner de l’Amour inconditionnel, il faut savoir qu’il est entendu aux autres (ce qui n’est pas déjà pas facile) mais aussi et avant tout à soi-même (et là ça se corse).
Oui, avant toutes choses mesdames, mesdemoiselles, il nous faut apprendre à lâcher-prise, à nous accueillir toutes imparfaites que nous nous pensons mais au fond divinement parfaites que nous sommes. Il nous faut apprendre à nous écouter, écouter notre corps et notre âme et donc faire confiance à cette petite voix qui nous murmure des évidences et que nous appelons intuition. Il nous faut avant tout nous donner… du temps, de la bienveillance, du soin, de l’attention et de l’AMOUR…
Eh oui c’est difficile et cela ne devrait pas l’être. Nous sommes si dures avec nous-mêmes…

Ensuite et c’est notamment la raison pour laquelle nous nous sommes déconnectées de notre féminin sacré, nous avons été élevées dans un principe masculin qui ne reconnait pas la pleine valeur du principe féminin. Je suis bien sûre que bon nombre d’entre vous ont eu des mères qui ne magnifiaient pas pleinement leur féminité. A peine parfois la reconnaissaient-elles…  

Enfin, la société dans laquelle nous vivons, nous invite à étouffer notre féminité. Il nous faut ne pas être trop « douces » pour prendre notre place sans nous faire écraser et nous imposer dans un monde professionnel parfois très masculin. On nous invite à reprendre le travail très vite après avoir accouché, ne pas trop parler de nos enfants et de nos soucis de maman. On nous apprend à aller vite, vite, toujours plus vite, à être dans l’action, le mouvement, à bouger (même pendant nos règles, même pendant notre grossesse, quitte à travailler jusqu’à notre terme, histoire de ne pas du tout profiter de cette belle période de gestation telle qu’elle devrait être vécue). On nous apprend à travailler dur, beaucoup, à nous réaliser, à entreprendre… Tout ce qui appartient finalement à la sphère masculine : l’action !
Justement, le masculin sacré parlons-en !

Et le masculin sacré dans tout ça ?

Le masculin sacré est profondément lié au féminin sacré car il est au service de celui-ci. Attention, cela ne revient pas à dire que l’homme est au service de la femme. Nous verrons que nous sommes (hommes et femmes) porteurs de ces deux polarités qui sont indissociables. Le masculin sacré est guidé par le féminin sacré, par l’âme, l’inspiration, la création. Il est quant à lui une dimension qui permet de mettre en action dans le monde extérieur. Le masculin existe pour agir, aller de l’avant, exécuter, prendre des risques, se battre au service du féminin sacré. Il est là pour protéger, mettre en lumière et faire rayonner le féminin sacré…
Quand les femmes qui ont été dépolarisées, se seront reconnectées, nous pourrons aider les hommes à reprendre leur rôle de protecteur, de gardien de la matrice. En observant les hommes qui sont autour de moi, il est intéressant d’observer que ceux qui ont intégré cette dimension et qui vivent parfaitement leur masculin sacré, sont également ceux qui ont accepté leur polarité féminine. Ils vivent alors en harmonie, intérieurement et extérieurement, cette double polarité qui fait d’eux des hommes « complets » et finalement… des « mecs bien ».

Se reconnecter avec son féminin sacré

Nous les femmes avons donc également besoin de cette dimension masculine mais, là où le bât blesse, c’est que nous avons eu tendance à la sur-développer au détriment de la dimension féminine, ce qui a fini par créer en nous un déséquilibre. Nous sommes nombreuses à avoir parfaitement intégrer notre polarité masculine pour nous réaliser socialement, professionnellement, matériellement, pour exister tout simplement, faisant de nous des amazones (un sein en plus) mais en oubliant parfois la madone, la déesse, la guérisseuse, l’intuitive, l’inspirée, la créatrice, l’artiste qui vivent en nous…
Quand on nous demande de nous reconnecter avec notre féminin sacré, voilà ce qu’on nous demande de faire : reprendre rendez-vous avec toutes ces grandes figures féminines en nous que nous avons oubliées, négligées, sacrifiées et qui ne demandent qu’à vivre et s’exprimer.

Comment faire ? Je n’ai pas trouvé la formule magique à travers mes lectures mais peut-être quelques clés que je vous livre ici, pas forcément dans l’ordre mais comme elles me viennent avec la force de l’évidence.

  1. Essayer de reconnaître quand son féminin sacré s’exprime :
  • quand vous êtes dans la douceur, l’accueil, l’écoute et l’attention à l’autre qu’il s’agisse de votre enfant, de votre amie, d’un parent, d’un patient…
  • quand vous avez envie de créer, d’inventer, d’imaginer
  • quand vous dessinez, écrivez, sculptez, chantez, dansez, jouez, créez
  • quand vous ressentez une impulsion créative, une fulgurance intuitive, une évidence
  • quand enceinte, vous prenez le temps de ressentir cette vie en vous…
  1. Se reconnecter avec ses cycles. Apprendre à connaitre son féminin sacré, c’est d’abord comprendre comment fonctionne une femme, admettre qu’elle est tour à tout dans un même mois Sorcière, Vierge, Mère et Enchanteresse (cf article sur ?? / A lire : « Lune Rouge » de Miranda Gray)
    Lorsqu’on sait ça, on se comprend et on s’accepte bien mieux…
  2. Comme nous sommes reliées à l’énergie de la Lune, portez votre attention sur cette belle, puissante et inconstante puissance féminine. Vous remarquerez peut-être (ou cela se mettra-t-il en place tout doucement) que vos cycles correspondent à ceux de la Lune (ovulation à la Pleine Lune et menstruations à la Nouvelle Lune ou l’inverse).
  3. Reconnectez vous avec votre intuition grâce à la méditation (la méditation calme le mental et permet de laisser la place à l’intuition)
  4. Apprenez à mieux vous connaître à l’aide d’outils de connaissance de soi tels que la numérologie et découvrez ainsi vos talents, vos aptitudes créatives, vos dons sacrés et mettez à profit pour vous et les autres vos pleins pouvoirs, votre plein potentiel.
  5. Lisez des ouvrages qui parlent de féminin sacré (« Femmes qui courent avec les loups » par exemple).
  6. Participez à des cercles de femmes ou simplement passez du temps avec vos meilleures amies et échangez sur des sujets de femmes. Mieux ! Faites les deux !
  7. Osez retrouver le sens et la puissance des rituels, seule ou à plusieurs. Osez ouvrir un espace sacré pour vous reconnecter à vous-même et à votre essence divine, chez vous ou dans la nature.
  8. Et puis, surtout… Laissez-vous du temps. Acceptez d’être là où vous en êtes. Avancez à votre rythme (nous revenons de loin !), n’essayez pas d’être dans le résultat mais plutôt dans le ressenti.

Transmettre le féminin sacré

Une fois que l’on a compris l’importance de bien vivre notre féminin sacré, il me semble évidemment essentiel d’élever nos filles dans ce respect et cet amour de leur féminité. Louisane Venne-Landry raconte une anecdote que je vous livre car il me semble qu’elle devrait toutes nous inspirer. « Moi, je suis bénie. J’ai été élevée par une femme qui adorait être une femme. Par exemple, lorsque j’ai eu mes premières règles, elle m’a offert une douzaine de roses et m’a gentiment souhaité la bienvenue dans le monde des femmes, un monde merveilleux rempli d’amitié, d’amour et de soutien. » Ca change de la gifle qui était de rigueur encore dans les années 60 et l’absence d’explication  sur la nature de nos cycles. Nous devrions toutes expliquer à nos enfants qu’ils ont besoin des deux polarités féminine et masculine. La première pour être en présence à soi et aux autres, écouter les autres mais aussi soi-même et son intuition, donner, aimer, créer et la deuxième pour être dans l’action : parler, faire exister son projet dans le monde extérieur, protéger, prendre des risques…
Cela reviendrait à leur expliquer tous les pouvoirs qui sont en eux. Une fois en contact avec leur féminin et leur masculin sacrés, ils pourraient alors avancer sans peurs, en toute sérénité et en maîtrisant leur existence.
Louisane Venne-Landry*, thérapeute, animatrice radio et créatrice de l’école de kinésiologie holistique « Quintessence Santé »

Sylvie Lüna Bérubé*, thérapeute psychocorporelle, créatrice de l’Ecole internationale du féminin sacré, conférencière, formatrice…

Source : « Sacrés ! Le féminin et le masculin vus autrement » de Josée Durocher – éditions Le Dauphin Blanc

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Numérologie stratégique: je vous en parle…

Faire mon thème numérologique a été pour moi une expérience étonnante, révélatrice et libératrice. C’est l’outil de connaissance de soi qui m’a le plus bluffé parmi tout le travail de développement personnel effectué durant des années.
C’est pour cette raison que j’ai décidé de me former auprès de Lydie Castells et d’en faire mon outil afin de vous guider, vous accompagner sur votre chemin.
Mais la numérologie stratégique qu’est-ce que c’est ? Comment ça marche ? De quelle manière les nombres nous apportent-ils des réponses ? Pourquoi faire appel à la numérologie ?
C’était le sujet de mon intervention à la première conférence du Pôle Libellule qui a eu lieu en janvier dernier.

Céline Colle
Numérologue – 06 03 16 68 17
celine.colle@yahoo.fr

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Detox de printemps selon l’Energétique Chinoise

C’est le printemps !!! Non, pas dans notre calendrier c’est vrai mais en Energétique Chinoise, le printemps a commencé le 4 février. Cette nouvelle saison impacte notre corps différemment. A l’honneur cette fois-ci la vésicule biliaire, les yeux et surtout le FOIE et l’émotion qui va avec : la  COLERE ! Cette période était chez les anciens un temps de jeûne avant les Fêtes de Pâques. La detox de printemps d’autrefois. Sans cesser de manger, il est bon néanmoins de ne pas surcharger son foie afin d’éviter les désagréments qui en découlent… Parallèlement, une detox de printemps actuelle sous la forme d’un nettoyage en douceur est la bienvenue et quelques points à solliciter permettent aussi de faire ce voyage printanier en toute sérénité et surtout en pleine forme physiquement et mentalement. Michel, notre spécialiste en Energétique Chinoise nous explique tout. Suivez le guide !

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L’Intuition : et si on l’écoutait vraiment ?!

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Vous la connaissez cette petite voix qui vous a dit un jour « oui vas-y ! Jette-toi à l’eau. Ca a l’air fou mais vas-y quand même » ? Ce murmure, cette sensation, cette fulgurance – chacun la ressent à sa façon – c’est l’intuition. Impalpable, difficile à saisir, à reconnaître, l’intuition est également délicate à définir. Qu’est-elle ? D’où vient-elle ? Que peut-elle nous apporter ? Est-elle un don réservé à quelques élus ?
C’est à ces grandes questions que Lydie Castells, numérologue, conférencière et auteure et le Dr Bernard Castells son mari, ont tenté de répondre à travers un livre captivant.

Cette petite voix, certains l’entendent régulièrement, d’autres parfois et certains rarement, voire jamais. Est-ce que cela signifie pour autant que certains sont dépourvus d’intuition ? En s’appuyant sur les ouvrages de référence parus sur le sujet et les travaux récents réalisés en neurosciences, Lydie et son mari ont réécrit une définition originale et passionnante de l’intuition. D’après leurs recherches, il apparait plutôt que nous avons potentiellement tous de l’intuition et que nous pouvons tous l’entendre, à une condition: savoir l’écouter.

Le QEI

On connaissait le Quotient Intellectuel depuis longtemps et plus récemment le Quotient Emotionnel. Lydie a créé le Quotient d’Ecoute Intuitive !
Partant du postulat que chacun d’entre nous est pourvu de ce 6ème sens mais que nous ne savons pas tous l’écouter, l’auteur a mis en place et intégré à l’ouvrage, un test qui permet à chacun de calculer son Quotient d’Ecoute d’Intuition. En travaillant et en augmentant son QEI, chacun d’entre nous pourrait se doter d’une nouvelle forme d’intelligence originelle et fondamentale, une sorte de super pouvoir… Et, pour nous aider à trouver notre rayon X naturel, un chapitre est consacré à l’optimisation de cette écoute intuitive.

Ecouter son intuition

Etre capable d’écouter son intuition comprend beaucoup de facteurs. Tout d’abord, il faut en avoir envie, croire qu’elle existe, se rendre disponible, laisser de l’espace afin qu’elle puisse s’exprimer et pour cela, apprendre à faire taire le mental. J’ai pu le vérifier moi-même. Je fais régulièrement de la méditation afin d’apprendre à museler les pensées et créer l’espace nécessaire. Pour autant, ce que j’appelle « mes fulgurances » ont lieu à un moment on ne peut plus banal, à savoir… quand j’épluche des pommes de terre ! Pas chaque fois bien sûr mais lorsqu’une question tourne en boucle et que je ne parviens pas à trouver de réponse avec le mental, il arrive que cette simple activité mécanique ouvre la voie. Ne demandant aucune réflexion, celle-ci devient légèrement « hypnotisante ». La ligne n’étant plus occupée pendant quelques secondes par des pensées parasites, l’intuition parvient alors à se frayer un chemin et à me joindre. Et là, vous vous demandez peut-être comment je sais que c’est mon intuition et pas une pensée parmi d’autres. C’est difficile à expliquer et pourtant tellement évident lorsque cela arrive… La nature du message n’est pas la même. La manière de le recevoir non plus… C’est une fulgurance de quelques secondes à peine, une certitude dénuée d’émotions. Certains critères très bien décrits dans le livre permettent de reconnaître une intuition et de la différencier d’une pensée ou d’une émotion.

L’intuition c’est quoi ? Et d’où vient-elle ?

Grâce à la confrontation de nombreux écrits rédigés sur le sujet à différentes époques par les plus célèbres penseurs, philosophes, psychologues, psychanalystes, scientifiques… les auteurs ont réussi à donner une définition exhaustive et cohérente de l’intuition et sont parvenus à répondre à une ribambelle de questions qu’on se pose habituellement sur le sujet, parmi lesquelles…
– D’où vient l’intuition ? De l’intérieur ou de l’extérieur ?
– L’intuition a-t-elle un rapport avec l’instinct ?
– Peut-on lui faire confiance ?
– Existe-il des bonnes et des mauvaises intuitions ?
– Est-elle une spécificité humaine ou les animaux sont-ils aussi intuitifs ?

A quoi ça sert ?

Et si l’on se demande « à quoi bon ? », un chapitre entier est dédié à l’utilité de l’intuition, à ce qu’elle peut nous apporter dans notre vie quotidienne. Sachez tout de même qu’en plus de nous alerter d’un danger, elle est un outil puissant d’aide à la décision mais aussi d’adaptation, qu’elle nourrit la créativité mais aussi la chance et la synchronicité…
En bref, l’intuition si on l’accepte et qu’on apprend à l’écouter, est un immense atout dans nos vies, une force supplémentaire comme un don, un super pouvoir. Appelez-la comme vous voulez mais quand elle vous appellera, décrochez et écoutez-la. Vous verrez c’est magique !

« L’intuition – Et si on l’écoutait vraiment ? » Lydie Castells, Bernard Castells
Edition Eyrolles – 16€

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L’Energétique Chinoise : prévenir et guérir

L’ Energétique Chinoise est une science ancestrale et complexe qui permet d’harmoniser l’énergie vitale de l’individu, souvent mise à mal par de nombreux facteurs extérieurs et internes, et ainsi de veiller au bon fonctionnement de ses organes, de préserver son capital énergétique, de renforcer son immunité et d’augmenter si besoin sa vitalité.

Aurélie Muskovac est thérapeute en Energétique Chinoise, à Beaune. Elle nous explique de manière simple en quoi consiste cette méthode, quels sont ses atouts et nous dévoile les outils dont elle se sert pour rééquilibrer nos énergies, entre acupuncture sans aiguilles, acupressure, diététique chinoise et respiration.

Aurélie Muskovac – Thérapeute en Energétique Chinoise
18 Place Monge – 21200 Beaune 
Tel : 06 63 57 21 27
 

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Le hasard n’existe pas…

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Il y a des moments dans notre vie, plusieurs, parfois nombreux, durant lesquels nous ne savons pas où nous allons, quels choix faire, pourquoi tel événement arrive et telle rencontre survient ? Et puis un jour, lorsque la dernière pièce du puzzle apparaît et que nous avons pris assez de recul, on comprend… On saisit le sens des choses, la puissance des signes, la magie des rendez-vous… On découvre émerveillé le magnifique canevas tissé pour nous. Je vous raconte aujourd’hui comment l’Univers a rendu mon rêve possible et pourquoi je ne croirai plus jamais au hasard.

Tout commence en septembre 2015 lors d’un échange avec Marie-Cécile Nicolet, somatothérapeute. En plein questionnement sur la suite à donner à ma vie professionnelle, je lui confie donc mes inquiétudes sur la viabilité de mon activité de rédactrice et, au-delà, mes envies d’écrire davantage sur des thèmes chers à mon cœur, tels que le bien-être, le développement personnel, la spiritualité, ceux que j’aborderais dans mon blog alors en préparation. Dans le courant de la conversation, Marie-Cécile me demande si je connais le magazine Inexploré, son créateur Stéphane Allix et son rédacteur en chef Sébastien Lilli. Je lui réponds que non, je ne connais ni l’un ni les autres. En partant, elle m’offre le dernier numéro en me disant « tu as quelque chose à faire avec ce magazine. Garde-le, je te le donne. » En le feuilletant, je découvre la promotion du livre « Le test » de Stéphane Allix. Le thème m’attire. Je l’achète, le dévore et demande une interview. Il accepte et je rencontre cet homme formidable à Paris, en novembre 2015. Il sera le premier à me parler de chamanisme. Un peu plus tard, je contacterai Sébastien Lilli afin de lui proposer d’écrire dans Inexploré. Ma demande restera sans réponse. Marie-Cécile se serait-elle trompée ? Ou est-ce simplement que Stéphane Allix a planté des graines en moi. Non, Marie-Cécile ne s’était pas trompée et l’arrivée de ce magazine dans ma vie s’avèrera bien plus importante que quelques graines. Je le comprendrai 30 mois plus tard, en mars dernier.

Découverte de la numérologie

En poursuivant la lecture d’Inexploré, ce nouveau puits d’information, je découvre un article passionnant sur la numérologie. Une numérologue interviewée en parle formidablement bien. Il s’agit de Lydie Castells. Nous sommes toujours au mois de septembre 2015 et le flou artistique concernant ma carrière persiste. Je me décide alors à commander mon thème, espérant qu’il me permettra d’y voir un peu plus clair. Je fais bien. Ce thème m’aide soudain à comprendre qui je suis vraiment, comment je fonctionne. Il met en avant mes qualités, mes dons, mes freins, mes paradoxes. Comble de joie, il me conforte dans le choix de mon métier de rédactrice indépendante. Mieux encore, il ouvre une porte sur mon rapport aux autres et mes capacités à guider grâce à l’écoute, la communication et l’intuition. Mon blog qui verra le jour cinq mois plus tard semble alors prendre tout son sens.

Emerveillée par ce que m’ont offert ce thème et cet échange passionnant de deux heures avec Lydie, je décide de consacrer un article à la numérologie en me basant sur mon expérience. Il est l’un des premiers à être publiés sur Béattitudes qui vient de voir le jour, en mars 2016. Convaincu par mon enthousiasme, à son tour, mon compagnon demande son thème et dans la foulée nous faisons faire celui de notre fille. Ce dernier fut essentiel pour comprendre très tôt la personnalité de notre enfant, ne pas commettre d’impair dans notre façon d’être, de communiquer et d’agir avec elle. Une belle façon de laisser s’exprimer ses aptitudes naturelles et ainsi respecter son être véritable, ses émotions, ses problématiques inconscientes.

Les mois passent et la vie continue, entre mon travail de rédactrice et la rencontre de personnes formidables qui me permettent d’alimenter mon blog et de me nourrir intérieurement. A travers ces diverses expériences thérapeutiques, chamaniques, énergétiques, je fais un véritable travail sur moi qui me permet de nettoyer, guérir, comprendre, grandir, me rapprocher chaque jour un peu plus de mon être véritable, me reconnecter avec mon Cœur. Je découvre la pratique du Ashtanga yoga, fais connaissance avec mon animal de pouvoir, m’initie à la magie du chamanisme, au pouvoir de la méditation, à la puissance du Reiki. Le monde subtil des énergies s’ouvre soudain à moi, me laissant deviner ses infinies possibilités de révélations, de transformations et de guérisons…

J’ai un rêve…

Depuis toujours j’ai un rêve : écrire un livre mais jamais au fil des années, je ne suis parvenue à trouver suffisamment d’intérêt pour le début d’une histoire. Début 2017 pourtant, ou devrais-je dire « enfin », l’envie se fait de plus en plus précise d’écrire un livre de développement personnel. Un ouvrage qui serait une sorte de cheminement à travers les différentes méthodes et thérapies expérimentées depuis 8 ans. En mars de la même année, je viens de lire « Et tu trouveras le trésor qui dort en toi » de Laurent Gounelle que j’avais trouvé intimement très inspirant mais aussi fort intéressant dans son approche du développement personnel. Je viens de publier un article sur le livre de cet auteur et cherche sur son site internet un contact, une adresse afin de lui écrire.

L’Univers m’offre alors bien mieux que cela…

En navigant sur le site de Laurent Gounelle le jeudi 30 mars, je découvre qu’il sera en conférence et séance dédicaces à Autun le samedi 1er avril. Sans blague ! Il serait là dans deux jours, à une heure de chez moi. Je n’en reviens pas de cette synchronicité. Je me rends donc à la librairie « la Promesse de l’Aube », armée de mon caméscope. J’assiste à la conférence et à la séance dédicace complète. J’attends que tout le monde soit parti et je lui demande deux choses : s’il accepte une interview filmée et s’il a des conseils à me donner pour être éditée. Il répond favorablement à mes deux requêtes. Quel plaisir d’échanger avec cet homme d’une gentillesse et d’une bienveillance rares. Concernant les éditions, il a deux conseils à me donner. Le premier : peaufiner le début du livre, le rendre remarquable car les éditeurs parcourent rarement plus de quelques pages avant de rendre leur verdict. Le deuxième : avoir un contact car, sans cela, mon manuscrit risque de terminer sa course, noyé dans la multitude et de ne jamais croiser un regard… Je prends note.

Dans le même mois j’avais pris rendez-vous avec Fabienne, une médium basée sur Dijon dont une amie m’avait dit beaucoup de bien. Parmi les informations transmises, il était question d’un rassemblement prochain qui serait très bénéfique pour moi.

Message chamanique…

Quelques jours plus tard, fin avril 2017, dans la fraîcheur d’un printemps paresseux, je vis bien un rassemblement : mon premier festival chamanique. Dans cette formidable aventure humaine, un soin devait me marquer plus que les autres. Assise au milieu d’un cercle constitué d’une centaine de participants, j’écoute les sages paroles d’un chaman mexicain qui nous explique que la réalité est ailleurs et que nous sommes ici, sur terre, pour vivre un rêve. Qu’il nous faut donc trouver le nôtre. Alors qu’il prend à parti quelques-uns d’entre nous, son doigt me pointe soudain et, ses yeux plantés dans les miens, le chaman me lance un retentissant « Tu sueño es escribir ! » (ton rêve, c’est écrire !)

A mon retour, ragaillardie par ces paroles et l’expérience festivalière toute entière, je commence donc la rédaction de mon premier livre. J’ai déjà de nombreux éléments d’information disponibles à travers mon blog. Il me faut donc avant tout trouver la manière d’articuler l’ouvrage. La rédaction me demande trois mois à temps complet. Dès la fin du mois de juin et courant juillet j’envois donc mon manuscrit à quelques maisons d’édition spécialisées dans le bien-être, la spiritualité, le développement personnel.

Le souvenir très poignant du festival m’anime tout au long du joli mois de mai. J’avais adoré les assemblées matinales animées, emmenées, enlevées par Patrick Dacquay, deo celte, créateur et organisateur du festival. J’ai envie de connaître et de raconter aux autres l’histoire de ce chaman blanc. Notre entretien est passionnant. Il propose de me faire parvenir son livre qui vient juste de paraître aux éditions Guy Trédaniel et me confie donc l’adresse de son attachée de presse là-bas. Lorsque j’explique ma requête à cette dame, j’en profite pour lui raconter que moi-même j’écris un livre et que je serais vraiment très reconnaissante si elle pouvait me donner un contact d’éditeur au sein de la maison. Ce qu’elle fit avec beaucoup de gentillesse. Une fois mon livre terminé, j’explique donc à ce contact inespéré qui je suis, l’objectif de mon ouvrage, mon travail de rédactrice de magazine et de blogueuse, les articles déjà rédigés sur le festival chamanique, sur Patrick Dacquay et son livre. Un échange fort sympathique s’en suit, cette personne ayant elle-même participé au festival et vécu l’expérience aussi intensément que moi. Elle accepte donc de lire mon ouvrage. Quel bonheur ! Tout fait sens : les paroles de Fabienne, de Laurent Gounelle, du chaman mexicain. J’ai mon contact dans l’édition et ma présence au festival va bel et bien m’aider à mettre au monde mon livre et à vivre mon rêve.

Détours

Sauf que la vie est joueuse et passe par des chemins bien plus détournés pour nous emmener là où nous devons aller… Je ne reçus jamais aucune réponse suite à l’envoi de mon manuscrit et ce, malgré deux relances. Les mois passent. Juillet, août, septembre, octobre, novembre… m’apportant silences, réponses négatives, désillusions, doutes, frustrations… Je ne comprends plus le sens des signes que j’ai reçus. Ce peut-il que j’aie à ce point rêvé ? Que mon manque de confiance puisse autant enrayer les rouages de la vie ? Que je sois capable de me saboter ?

J’essaie de laisser passer les jours sans attendre, sans les compter, sans stresser quand j’ouvre ma boîte mail, sans sursauter lorsque je reçois un coup de fil de Paris.

Je travaille comme si de rien n’était et poursuis la rédaction de mes articles magazines quand je reçois un appel. Nous sommes le 6 décembre… Je tape frénétiquement sur mon clavier, tout en jetant un œil de temps à autre par la fenêtre. Mon téléphone portable sonne. Contact affiché : Lydie Castells. Lydie Castells ? Nos derniers échanges datent d’environ deux ans. Pourquoi m’appelle-t-elle ? Je décroche, ravie d’échanger de nouveau avec elle. Elle m’annonce alors qu’elle a rédigé un livre sur la numérologie et qu’elle vient d’être publiée. Elle m’appelle pour me demander mon adresse postale car elle souhaite me faire parvenir un exemplaire. Une manière à elle de me remercier pour l’article que j’ai écrit et fait paraître sur mon blog deux ans plus tôt. Déçue de ne pas connaître le même sort mais très heureuse pour elle et portée par son enthousiasme communicatif, je la félicite. Je lui rappelle la performance d’être publiée, sachant que les élus sont rares ( moins de 0,2% des manuscrits proposés voient le jour en librairie!) et lui explique que moi-même je cherche à décrocher le Graal. Elle s’intéresse à mon projet et, comme elle aime le style de mes articles, elle me propose de lui faire parvenir un synopsis afin de le présenter à son éditrice qu’elle doit justement rencontrer le lendemain… et que nous appellerons M. Elle me quitte en me demandant de la recontacter fin janvier si d’ici là je suis sans nouvelles.

Décembre passe, 2017 trépasse… Rien. Je commence à laisser tomber l’idée d’être éditée. Depuis le temps que mon compagnon me pousse à m’autoéditer, je commence tout doucement à accepter l’idée. Stéphane fait partie des quelques personnes qui croient profondément en moi et il a fini par me convaincre de ma légitimité à mettre seule au monde mon livre. Je décide alors de lâcher-prise et commence à me renseigner sur les logiciels de correction, les différentes plateformes de distribution, l’idée d’une couverture, les prix de vente… J’en suis là de mes réflexions, portée par un nouvel élan, tandis que je travaille sur le bouclage de deux magazines et sur mon blog. En effet, le livre de Lydie Castell me plait beaucoup. J’adore sa conception, son style et son caractère interactif. Je fais part de mes impressions à l’auteure et lui annonce ma décision de faire de son ouvrage l’un des prochains sujets de mon blog. Nous sommes le 1er février 2018 et comme elle m’avait demandé de le faire, je l’informe dans le même temps, que je suis sans nouvelle de sa maison d’édition, ni des autres d’ailleurs et que je pense très sérieusement à une autre alternative. Mon sms envoyé, je file chez une amie illustratrice afin de discuter avec elle de la couverture de mon livre. La journée passe. 19H, je m’aperçois que j’ai raté un appel de Lydie. J’écoute son message et immédiatement perçois l’excitation dans sa voix. Elle m’explique que c’est incroyable parce que je lui ai envoyé le message le matin même où elle avait rendez-vous avec son éditrice à Paris. Je précise que Lydie vit à Bordeaux. A midi, alors qu’elles déjeunaient ensemble, le téléphone de l’éditrice avait sonné. C’était urgent, elle devait répondre. Pour passer le temps, Lydie avait consulté ses messages et était tombée sur le mien. « Je lui ai tout de suite reparlé de vous. Nous avons cherché le synopsis de votre livre dans nos mails et elle l’a retrouvé. A l’heure qu’il est, elle a dû vous envoyer un mail ! C’est complètement fou cette synchronicité ! » conclut-elle. Oui, en effet, c’est complètement fou.

Je me précipite donc sur mon PC pour découvrir le mail. L’éditrice accepte de se pencher sur mon livre et me demande donc d’envoyer mon manuscrit. Je m’exécute. Nous sommes le 2 février. Les jours passent silencieux…

Aboutissement

Quelques semaines plus tard, j’envois un mail à M. afin de lui proposer de procéder à quelques modifications sur mon manuscrit. Dix minutes s’écoulent avant qu’un numéro parisien s’affiche sur mon portable. J’hésite à répondre – sûrement du call marketing ou une attachée de presse qui me propose un sujet – Dans le doute je réponds. C’est elle… Mon cœur s’emballe. Nous échangeons. Elle me pose des questions sur mon livre, mes motivations à le rédiger. Dans la conversation je glisse que je serai sur Paris la semaine qui suit pendant 2 jours (2 ans que je n’avais pas mis les pieds à Paris…) Elle me propose de nous rencontrer le mercredi 28 février. Entre-temps, si après avoir parcouru mon manuscrit, elle estime que mon livre n’a pas sa place parmi ses collections, elle s’autorise à annuler le rendez-vous. J’accepte. Nous sommes le mardi 20 février. La semaine passe sans que j’aie de nouvelle. Ni annulation, ni confirmation. Je n’y crois guère. Je ne peux m’empêcher de penser que, toute débordée qu’elle est, elle m’a sûrement oubliée. Il faudra que je me retrouve à l’intérieur de l’immense immeuble d’Eyrolles et que la standardiste m’annonce que M. m’attend pour que je réalise que j’ai bien rendez-vous avec mon destin. S’en suit un accueil chaleureux, deux heures d’entretien, un échange bienveillant, quelques compliments qui me touchent en plein cœur. C’est décidé pour elle, mon manuscrit passera en comité d’édition (une poignée de lecteurs aguerris à convaincre…) le 7 ou le 21 mars et elle appuiera mon livre. Une semaine plus tard, le 8 mars (8… mon chiffre), j’ouvre un mail de sa part, une boule dans la gorge (parce que me dis-je, si c’était bon, elle m’aurait appelée…) et découvre finalement une réponse positive.

Courant avril 2018, je reçois mon contrat d’édition, quasiment pile un an après les mots du chaman  qui résonnent encore dans ma tête, comme dans un rêve: « tu sueño es escribir… »

La morale de cette histoire ?

Il faut croire en ses rêves, mettre des choses en route dans ce sens. L’univers se charge du reste. Ne cherchez jamais à savoir ni à comprendre comment. Laissez faire. J’aime beaucoup cette métaphore de la vie :

Lorsque vous roulez la nuit, votre visibilité est seulement de quelques mètres, juste un bout de route éclairée par des phares. Vous ne voyez pas l’arrivée. Sur le reste du trajet, il y aura des virages, parfois serrés, des carrefours, de grandes lignes droites plus reposantes. Vous savez qu’au bout, il y a votre destination, vous avez confiance, sans pour autant avoir une vision d’ensemble du chemin à parcourir.

Eh bien, c’est exactement pareil pour la vie. Ne vous occupez pas de ce qui vient, ni de comment ça vient. Faites juste le premier pas.

« La foi, c’est monter la première marche même quand on ne voit pas tout l’escalier » a écrit Martin Luther King

Merci Marie-Cécile de m’avoir offert mon premier Inexploré. Ce magazine inspirant m’a permis de faire la connaissance de Stéphane Allix, de mettre un pied dans l’univers merveilleux du chamanisme. Surtout il a mis sur ma route Lydie Castells grâce à qui mon livre a pu être publié et qui m’a formée à la numérologie que je pratique aujourd’hui pour guider les autres. Oui, Marie-Cécile, j’avais vraiment « quelque chose  à faire » avec ce magazine !

Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous…

 

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