aurathérapie: j’ai testé!

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Je n’ai rien dit de moi à Nelly avant le soin d’ aurathérapie. Je ne voulais pas l’influencer et surtout, j’avais envie qu’elle me surprenne. Elle ne savait donc pas qu’une douleur au genou gauche, persistante depuis quelques semaines, m’avait empêchée de dormir la nuit précédente. Elle ignorait qu’une chute de vélo à 18 ans avait sensibilisé mon tibia droit, que j’avais subi une opération du col de l’utérus et que j’ai souvent mal entre les omoplates.

Pendant le soin qui dure environ 40 min, je souhaite garder les yeux ouverts pour voir comment ça se passe. Je la regarde officier. Un enchaînement de mouvements parfaitement chorégraphié. Je ne sens rien de particulier. Je comprends vite que ma démarche est inutile, tout se passe sur le plan subtil. Je décide donc d’arrêter d’être dans l’observation pour réellement vivre l’expérience.

La musique, la chaleur du poêle font rapidement leur effet. Je suis hyper détendue. Jusqu’ici Nelly bougeait ses mains au-dessus et autour de moi, sans qu’il y ait le moindre contact. Le soin avance et, à travers les vêtements, elle appuie doucement sur des points du corps. Un procédé qui finit de me relaxer totalement. C’est très agréable. Elle m’invite à m’asseoir afin de terminer la séance par le dos. La tête me tourne un peu et je me sens légèrement vaseuse. Je prends le temps de recouvrer mes esprits (c’est que l’ interview de Nelly sur l’ aurathérapie m’attend après ça !)

Un diagnostic bluffant

Confortablement installée dans son canapé, thé en mains, je lui demande de me relater mon check up « aurathérapeutique ». Je ne vais pas être déçue…

Tout d’abord, je suis ravie d’apprendre que mes auras vont bien. Elle m’explique qu’ils sont bien en place et qu’elle n’a eu qu’à les recentrer. Elle en conclut que je fais régulièrement des soins énergétiques (merci Marie-Cécile !), que je me protège et fais attention à moi (c’est vrai). « Ensuite, me dit-elle, au niveau des mémoires, ce que j’ai essentiellement trouvé est un souci au genou gauche ». Ah bah oui, vous m’étonnez, il m’a empêchée de dormir cette nuit !  Elle poursuit : « J’ai retiré un objet qui vous empêche d’avancer. Comme une sorte de planche de bois fixée sur vos genoux et vos tibias. » Intéressant, quand on sait que j’ai mal au tibia droit depuis plusieurs années. Il faut savoir – si on croit à l’existence de vies antérieures – que souvent, on se fait mal dans notre vie actuelle, là où nous avons été blessés dans d’autres vies. Après, on croit à ce qu’on veut bien croire ! Elle me dit qu’elle est restée un moment sur ce genou gauche afin de « colmater » la fuite d’énergie que cette mémoire engendrait.

Nelly continue le scan de mes corps subtils : « Au niveau du bas du ventre, peut-être l’utérus, j’ai trouvé un objet, une mémoire qui était inutile. Je l’ai enlevé. » Je lui raconte alors comment, fraîchement enceinte de quelques semaines, et tout à mon bonheur de devenir enfin maman, j’apprends de ma gynécologue qui rouvre mon dossier un peu tardivement, que j’aurais du me faire opérer il y a un an et qu’il se peut que la maladie ait évolué. Ca, c’est ce qu’on appelle un ascenseur émotionnel ! Je porte la vie et on m’annonce une potentielle mort… C’est sûr, ça laisse des traces, tout comme les biopsies douloureuses et l’opération 2 mois après mon accouchement. Donc, oui, je confirme, il y avait bien une mémoire au niveau de l’utérus. Je voulais être bluffée. Je le suis.

Elle remonte encore : « Au niveau du foie, j’ai trouvé quelque chose de « piqué », c’est-à-dire un lien avec une émotion, une fragilité familiale. Je me suis demandé également, si dans votre famille, quelqu’un avait eu un problème de foie. » Une émotion, une fragilité familiale pas digérée, c’est sûr. Je suis en train de travailler dessus avec Noëlle Lamy, spécialiste en psychogénéalogie. Des problèmes de foie, oui, il y en a eu, au moins deux chez un grand-père et une arrière grand-mère. Ca se tient.

Emotion et ancêtres en héritage

Nelly poursuit son diagnostic d’ aurathérapie avec la mémoire d’une grosse émotion, comme des sanglots contenus, dans la région du cou. « Je ne sais pas d’où vient cette émotion mais je l’ai enlevée » dit-elle. Moi, je suis à peu près sûre de savoir d’où elle vient… Un chagrin d’amour aussi laisse des traces. Elle repère aussi deux présences au niveau de la tête, une présence toxique et une autre bienfaisante. Ca fait la balance ! Elle m’explique qu’au moment de ma naissance, un ancêtre s’est « piqué » à moi pour continuer sa vie. Elle m’explique : « Ce sont des êtres qui décident qu’il est de notre devoir de poursuivre la lignée comme ils l’entendent. Ils sont inutiles. Ils ont raté leur vie, c’est leur problème. On n’a pas besoin de leur héritage. » Bref, c’est polluant et consomme de l’énergie. Pas très écolo quoi ! En revanche, une présence bienveillante est là pour me protéger : « Je vous ai vue petite fille avec une grand-mère, une vieille dame gentille, protectrice. Alors, je n’y touche pas, car elle, elle est utile. » Une mamie pare-feu ? Difficile de savoir qui cela peut être. Je pense à mon arrière grand-mère et à ma nounou. Peu importe, c’est bon de savoir que quelqu’un veille sur moi.

Elle a trouvé aussi quelques petites fuites d’énergie, mais ça, comme dit Nelly, tout le monde en a. Elle me demande si je bois assez. La réponse est non. Je le sais, ce n’est pas la première fois qu’on me le fait remarquer. « Vos reins demandent à travailler » me dit-elle. Ok, le dromadaire que je suis va tâcher de s’en souvenir. Elle termine en m’expliquant qu’elle a retiré pas mal de poignards logés tout le long de la colonne et principalement entre les omoplates. Aïe ! Ceci expliquerait donc cela.

Aurathérapie: Test réussi

Nelly a réussi le test haut la main. Tellement que, après lui avoir raconté, mon homme a voulu y aller. Il est rentré abasourdi et ravi. Lui qui toussait depuis plus d’un mois toutes les nuits, n’a plus toussé à partir de cette nuit là. Il faut dire que Nelly lui avait retiré le matin même, la mémoire d’un objet pointu coincée dans la gorge…

Quant à moi, la douleur au genou a disparu, mon tibia est moins sensible. Mon dos reste encore un peu douloureux mais l’ aurathérapie ne règle pas tout. Il faut aussi savoir reconnaître les émotions, les fardeaux quotidiens qui nous pèsent le plus et parvenir à les gérer. Après, peut-être reste-il quelques couteaux, flèches et haches plantés ici et là ! Il faut parfois s’y reprendre à deux fois, même en aurathérapie… 😉

Nelly Ocquidant – Magnétisme et aurathérapie
5 Route de Ruffey – Hameau de Corcelles
21550 Ladoix-Serrigny
Tel. 06 25 50 65 68

 

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